Apprendre en s’amusant : vieux comme le monde !
Dans notre dernier article, nous vous parlions de médiation culturelle et des différents produits et outils mis en place par les institutions afin de rendre l’art et la culture accessibles à tous.
La médiation humaine n’est pas la seule manière de rapprocher des thématiques et domaines dits complexes ou bourgeois des publics qui n’en sont pas familiers. L’axe de « l’apprendre en s’amusant » a été largement exploré par les professionnels de l’éducation depuis cinquante ans (au moins). Qui n’a encore un jeu éducatif dans son placard ou son grenier ?
Selon que l’on préfère voir le verre à moitié vide ou à moitié plein, on considèrera la ludification (ou gamification) et « l’edutainment » soit comme un camouflage facile pour caser des contenus rébarbatifs, ou comme la méthode la plus efficace et empirique pour apprendre quelque chose de nouveau. Car apprendre n’est pas triste par nature. Le cadre, les enjeux, la méthode… d’apprentissage peuvent transformer l’opération en quelque chose de rébarbatif, voire de franchement pénible. Mais de nombreux apprentissages s’effectuent dans le plaisir. Qui n’est pas nécessairement synonyme de facilité : apprendre demande un effort et de la constance, pour réussir un jour à courir 10 km tous les matins, chanter une pièce de Mozart ou réussir impeccablement la tarte aux fraises. Nous parlons ici des apprentissages volontaires plus que de ceux qui s’effectuent de manière naturelle ou spontanée, tels que l’apprentissage de la marche pour un bébé.
L’audience de certains documentaires, séries animées, bandes dessinées et, plus que tout, de millions de tutoriels sur YouTube, montre qu’apprendre est un désir, et un plaisir. De la pose d’un robinet à la culture de la patate douce, en passant par l’obéissance, la pratique des danses de salon et le Rasoir d’Ockham, à peu près tous les sujets ont fait l’objet d’un processus de simplification, voire de gamification !
Vu du côté du pédagogue, le défi sera alors de conserver la rigueur de la démarche et de l’information sous l’habillage ludique d’une part, de rencontrer les goûts et habitudes de consultation de son public d’autre part. Car il ne s’agit pas de se contenter de quelques grosses banalités en matière d’informations « nouvelles », ni de placer une petite grenouille sur chaque page pour réussir une ressource ludoéducative. Le sujet, la narration, l’aspect visuel, le rythme et la sollicitation du participant (et non du spectateur) s’avèrent ici essentiels.
Bon à savoir, le module d’e-learning ludique et économique
Notre nouveau type de module « Bon à savoir » s’inscrit totalement dans cette logique « d’edutainment ». En effet, grâce à son format très court, d’une quinzaine de minutes, il est impossible de s’ennuyer ou de décrocher. Son joli graphisme, rigolo est interactif et très ludique et bien sûr son contenu intelligent (petite vidéo d’animation, activités, fiches explicatives, quiz…) permet d’apprendre rapidement tout en s‘amusant.
Le principal atout de cette ressource interactive est de pouvoir se décliner sur n’importe quelle thématique. L’objectif est de vulgariser des sujets parfois complexes en créant des contenus rigolos, originaux et destinés à tous. Une logique de culture accessible au plus grand nombre, chère à Pimenko.
Un musée pourrait créer une capsule en complément de chacune de ses expos et la publier sur son site internet par exemple. Un format très efficace, pouvant se décliner à l’infini et idéal pour les établissements culturels (bibliothèques, musées, monuments historiques …) en recherche de contenu et souhaitant diversifier leur offre en ligne. De quoi « pimper » son site internet de manière ludique, mettre en valeur son patrimoine, ses œuvres, collections et surtout donner envie au public de fréquenter son établissement.
Autre avantage de ce petit module : son prix d’achat très attractif. L’expérience de notre équipe et la maîtrise de technologies variées nous permettent de vous proposer des collections de 4 ou 6 modules pour le prix de 2 modules réalisés avec les outils classiques.
Conçu au départ pour les établissements culturels, les «Bons à savoir» peuvent s’adapter à de nombreux secteurs. Si vous souhaitez une démonstration de ce module court, intelligent, joli et rigolo, contactez-nous !